A propos

Virginie Blanchard est plasticienne. Elle a toujours trouvé ce mot très moche et fourre-tout mais il colle finalement bien avec son travail, entre photographie, sculpture, mécanique... En découvrant, quand elle débute sur les réseaux sociaux qu'elle a 40 homonymes elle abandonne une hypothétique carrière d'artiste et se rend à l'évidence que si elle s'était nommée autrement son destin aurait été tout autre et, son référencement bien plus facile.

En renouant dans un moment d'égarement avec la sculpture, elle redécouvre la céramique et commence à fabriquer des prototypes de plaques funéraires. C'est un projet ancien qui resurgit avec la matière et, le souvenir d'avoir dû choisir un cercueil et des plaques funéraires trop tôt, trop vite, trop ordinaires.

Cette phase de prototypage s'accompagne de la fréquentation d'un rayon d'une médiathèque désertée et de lectures ou re-lectures d'auteurs, autrices lors de nombreux trajets Arles-Marseille pour la sélection des Vers et épitaphes.

Le choix des mots et assemblages du Carré R.I.P débutera en joyeuse compagnie dans une voiture essence lors d'un parcours Arles-Coulon-Pénestin via nationales et de nombreuses ZAC inspirantes. Celle-ci sera enrichie lors d'apéritifs en présentiel ou plus familièrement lors d'apéros où l'enthousiasme des amis a continué de porter ce projet. Qu'ils et elles en soient tous et toutes remerciés.

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Parce que la vie parfois n'est pas mal faite elle rencontre :

Yann Deroche commercial repenti, curieux de tout, passionné de rien, dixit lui-même.

Après avoir servi des cocktails sur une île des territoires ultramarins, il rentre en métropole et se forme, dans une école de commerce terminant en EC, aux stratégies du grand capital. Il travaille plusieurs années dans des entreprises se terminant par EX et tombe malencontreusement sur des ouvrages de développement personnel et traités d'économie dissonants avec le grand modèle. En phase avec son époque résiliente, il soutient le projet de la petite entreprise non sans nourrir le secret espoir de voir La Grande Pompe se développer à l’international.